YVONNE BILIS REGNIER, LE RETOUR VERS UNE NATURE PEUPLEE D’ETRES DIVINS OU AUTRES

伊冯·雷尼尔(YVONNE RÉGNIER),回归神灵居住的自然. 精致而无声神秘的世界的重生

par Christophe Comentale, coordination éditoriale Alain Cardenas-Castro

Les alternances entre une approche figurative ou abstraite de l’art ne cessent d’éclairer d’un jour nouveau l’œuvre d’artistes disparus et redécouverts lors d’une réapparition de leur création sur le marché. Les œuvres sont alors livrées aux regards multiples, entre l’indifférence et un intérêt exacerbé… Ainsi en va-t-il des quelque deux mille dessins laissés par Yvonne Bilis Régnier (1926-2017) et sa compagne Dominique Dalozo, disparue en 1997. Un reflet entre les œuvres maniéristes peuplées de créatures divines ou les dessins raffinés d’Hercules Seghers (ca 1590, Harleem – 1638, Amsterdam) et de Georges Rubel (1945, Paris). Sans oublier pour autant des êtres inquiétants nés de profondeurs et abysses proches de Johann Heinrich Füssli (1741-1825) ou de postsurréalistes.

具象和抽象方法之间的交替从未停止为艺术家的作品提供新的视角,当他们的作品被投放市场时,这些艺术家已经消失并被重新发现,从而被多种凝视所取代,在冷漠和加剧的兴趣之间……Yvonne B. Régnier 和她的伴侣留下的 2000 多幅画就是这种情况,他们在 2000 年左右失踪了。由神圣生物构成的矫饰主义作品或梦幻而复杂的荷兰艺术家赫拉克勒斯·西格斯 (Hercules Seghers) 和法国艺术家乔治·鲁贝尔 (Georges Rubel) 的精致绘画之间的映衬,他的版画让人想起象征主义和近乎超现实主义作品的密度。


Ci-dessus, de gauche à droite. Yvonne B. Régnier, Paysage (1991), technique mixte, 22,5 x 37,5 cm, œuvre datée au coin infr gauche du verso, coll. privée ; Yvonne B. Régnier, Divinité face à l’arbre (1988), 27,5 x 38 cm, monogrammé YBR au coin inférieur droit, coll. privée.


Une biographie confidentielle

Comme bien souvent, le hasard décide de la conservation d’œuvres d’artistes disparus sans postérité ou bien dans une indifférence qui incite les heureux héritiers à se débarrasser au plus vite des œuvres … Dans tous les cas, au mieux, une ou plusieurs dispersions faites avec cœur et méthode permettront de garder des éléments éclairant sur l’activité et les racines des créateurs.

C’est dans ce contexte que plusieurs visites au stand d’un marchand d’art et de photos présent au marché aux puces de Vanves m’ont permis de voir des œuvres d’Yvonne Bilis Régnier, comme son nom apparaît sur des panneaux et dessins signés.


Ci-dessus, de gauche à droite. Yvonne B. Régnier. la forêt avec personnages, huile sur panneau, coll. privée ; Yvonne B. Régnier. Arbre sur muraille (1990), 21 x 29,5 cm, coll. privée.



Ci-dessus, de gauche à droite. Yvonne B. Régnier. Arabesques (sd), 12 x 13,5 cm, coll. privée ; Yvonne B. Régnier. Arbres aux branches longues, 16 x 24 cm, coll. privée.


Ainsi, les éléments biographiques relatifs à cette créatrice sont vagues, peu documentés, ce qui est, somme toute, fréquent et assez normal quand un créateur ne s’est pas suffisamment soucié de l’archivage progressif de son œuvre et des contraintes que cela induit, mais a préféré travailler de façon différente et plus progressive.  Dans les années 1950, les deux peintres parviennent à rencontrer Cocteau qui les mentionne plusieurs fois dans son Journal et dans sa Correspondance. Elles deviennent donc proches de l’écrivain [il y a eu plusieurs lettres échangées avec l’artiste français en 1956, aux pages 273, 312 de la recherche publiée en 2011 sur la codification EAD de l’inventaire du fonds d’archives Jean Cocteau, conservé par la Bibliothèque Historique de la ville de Paris].

Dans la revue Alcheringa[1] (été 2022, n°3) un des rédacteurs, Bruno Montpied, présente dans la rubrique Chronique du sciapode, l’article Peintures domestiques et tentations infernales : plusieurs paragraphes (aux pp. 56-57) sont relatifs à Irma Dominique Nora Dalozo, la compagne d’Yvonne Bilis Régnier. L’auteur, aussi collectionneur, revient sur des achats d’œuvres : « Il semblerait que ce tableau, acquis aux Puces en 2020 avec six autres peintures sur toile pour une somme ridicule, provienne d’Irma Dominique Nora Dalozo, ayant émigré d’Argentine au début des années 1950 avec son amie Yvonne Bilis-Régnier (peut-être l’autrice de certaines des autres toiles retrouvées, non signées). Elle a très peu exposé : une fois à la galerie Bernard Loliée dans les années 1950-60, une fois avec le groupe d’artistes féministes Spirale en 1977. D’après un témoignage de Fabienne Dumont dans son livre Des sorcières comme les autres (2014, PUR), qui a rencontré les deux femmes en 1998, ces deux artistes se seraient éloignées du monde des Beaux-Arts, s’en sentant étrangères. Elles ont cependant cherché dans les années 1950 à rencontrer Cocteau qui les cite dans son Journal et sa Correspondance. J’ai publié un article sur elle et sa compagne dans la revue Trakt n°12 en novembre 2020, avec les 7 tableaux de ma collection reproduits. Et j’ai consacré à Dominique Dalozo seule un petit chapitre au sein d’un article intitulé « Peintures domestiques et tentations infernales. Louis Carmeil, Dominique Dalozo, Louis Delorme, Armand Goupil, Gabriel Jenny », dans la revue du groupe surréaliste de Paris, Alcheringa n°3 (été 2022) ».

Dominique Dalozo. tableau fantastique

Vérification faite aux contenus de ces revues citées ci-dessus, peu ou pas d’éléments biographiques précis, des descriptions d’œuvres disent l’intérêt des rédacteurs pour le travail de Dominique Dalozo et des œuvres acquises ici et là sans vraiment de précision.

Plus récemment, la fréquentation des marchands d’art, en particulier au marché aux puces de Vanves a permis de trouver un certain nombre de peintures sur panneau (ill.), de dessins à l’aquarelle (ill.) et d’encres et rehauts de blanc sur papier (ill.). Certaines œuvres sont signées ou monogrammées par Yvonne Régnier. D’autres ne le sont pas. Seule une parenté stylistique est là ! Outre le rachat du fonds d’atelier par le marchand, deux ou trois collectionneurs ont acquis certaines de ces œuvres, panneaux, dessins, de deux veines différentes : d’une part des paysages maniéristes (ill.), de l’autre des groupes de figures d‘anges inquiétants (ill.).

Yvonne B. Régnier. Panneau aux elfes, huile sur panneau d’isorel, 23,5 x 32 cm, coll JCR.

D’après des échanges oraux avec différents marchands qui ont pu de près ou de loin fréquenter ces artistes, Yvonne Régnier, bonne dessinatrice, serait d’origine argentine par sa mère, et on sait qu’arrivée à Paris durant les années 1950, elle s’habitue au milieu parisien marginal.

Les paysages d’une mythologie rêvée

Yvonne Bilis Régnier est désireuse de rendre, de restituer dans ses paysages des atmosphères saisies entre rêve et réel. Au premier regard, la présence d’humains qui se fondent dans les frondaisons, les roches, autant d’éléments constitutifs des dessins et des peintures sur panneau, renvoient aux œuvres de Poussin qui parsème de personnages ses Saisons, on pense aussi aux huiles et manières noires de John Martin (ill.) et aux romantiques. A y regarder de plus près, au réel structurel des œuvres s’ajoute, s’insinue la présence discrète d’êtres improbables, des créatures, restées à l’état de silhouette. L’atmosphère ainsi créée rappelle par son calme, sa dynamique tacite, les œuvres produites par une littérature et des formes artistiques antiquisantes, notamment grecque ou latine, voire postrenaissantes, qui livraient des paysages, des campagnes peuplées de divinités nombreuses et bien différentes. Bon nombre d’œuvres de Claude Gelée ont cette tendance à mêler le monde environnant à un univers rêvé, idéal. Ces créatures devenues silhouettes discrètes ont quelque parenté rythmique avec celles qui émanent des œuvres de Johann Heinrich Füssli (1741-1825) nées des nuées ou de sphères invisibles.

Certes, les affinités avec d’autres créateurs que les deux artistes ont pu connaître, tels Christian Bérard (1902-1949), Léonor Fini (1907, Buenos Aires – 1996, Aubervilliers), Pierre-Yves Coustère (1938-2017), peut-être même Michel Debiève (1931-2021), sont parmi ces créateurs avec lesquels Yvonne Régnier semble avoir quelque affinité. En l’état actuel des éléments connus, rien de plus précis n’est possible.

Il est assez évident que la culture humaniste de l’artiste renvoie à des textes comme ceux de la Divine Comédie ou à des périodes qui privilégient des atmosphères complexes, reflet d’un goût pour un certain mysticisme que les membres de l’école surréaliste contemporaine ne désavouent aucunement. Parmi ces derniers, Guy Girard et Virginia Tentindo qui ont en commun ce plaisir de mondes à personnages complexes.

Yvonne B. Régnier. Anges, dessin au lavis et rehauts, 21 x 26 cm coll. JCR.

Ci-dessus, de gauche à droite. Yvonne B. Régnier, Anges, lavis et rehauts, 31,3 x 24 cm, coll privée ; Yvonne B. Régnier. Les quatre, encre et rehauts, 15 x 10,5 cm, esquisses de pieds au verso, coll. privée.


Cohortes d’anges ou de démons

La sélection proposée ce jour est ce corpus d’une quinzaine d’œuvres caractéristiques d’une production dense.

Les paysages, dont il a été question plus haut ou les groupes au-delà de l’humain qui peuplent l’imaginaire d’Yvonne Bilis Régnier, des espaces paradisiaques, rustiques ou infernaux renvoient assez spontanément au Paradis perdu, un poème épique dû au poète anglais John Milton, publié en 1667 en dix parties. L’œuvre graphique de cet artiste est très proche du parcours initiatique qui émane de la Divine comédie de Dante.

La version britannique de ce parcours au fil de zones entre perfection et ignominie est rédigée en vers non rimés. Puis, sept ans après, en 1674, l’œuvre est réorganisée en douze parties afin de rappeler l’Énéide de Virgile — Ce même Virgile qui accompagne Dante durant son parcours parmi les cercles infernaux.

Le Paradis perdu raconte l’histoire la plus ancienne du livre. Aveugle comme Homère et définitivement exilé de la vie politique après la Restauration de 1660, John Milton dicte une épopée de la série de chutes — des anges, d’Adam et Eve, du langage humain — qui ont conduit au monde corrompu et guerrier dans lequel il vivait. Son intention déclarée était « d’affirmer la providence éternelle / Et de justifier les voies de Dieu aux hommes ». Il n’en demeure pas moins que la perception de Lucifer et des autres anges déchus s’avère plus intéressante que celle de Dieu, une particularité qui a incité William Blake à affirmer que Milton était « du parti du diable sans le savoir ». Les dessins contrastés en valeurs opposées de noirs et de blancs d’Yvonne Bilis Régnier renvoient spontanément  à ces mondes invivables, insupportables, en attitudes paradoxales et bien souvent d’un masochisme élégant.

Yvonne B. Régnier. Eminence (sd), 9,5 x 14 cm, coll. privée.

Ci-dessus, de gauche à droite. Yvonne B. Régnier. Arbre de vie (datée au verso, janvier 83), 21,5 x 29,8 cm, coll. privée ; Yvonne B. Régnier. En forêt, crayon et pigment, 13,4 x 10,5 cm, coll. privée.


Une suite d’illustrateurs éclectiques mais également fascinés

Les illustrateurs du Paradis perdu ont souvent puisé davantage dans les profondeurs infernales du poème que dans ses hauteurs célestes. Semblable fortune a été celle de l’Enfer de Dante plutôt que du Purgatoire ou du Paradis. Les dessins de Botticelli ont eu leur part d’une influence magnétique sur le 19e siècle anglais. A nouveau, la présence des aquarelles sauvages de William Blake peintes vers 1807 se plaisent à dépeindre l’immensité musculaire de Satan, espionnant Adam et Eve et les incitant au péché. Les eaux-fortes que Gustave Doré publie vers 1866 recherchent les contradictions extrêmes de l’encre et accordent une attention particulière aux ailes des anges, qui ressemblent à des cygnes forts de leur présence céleste, mais se transforment en chiroptères proches des chauves-souris lors de chute vers des abysses autres. Chez Yvonne Bilis Régnier, ces ailes de certains de ses personnages enfants ou androgynes dévoyés ressemblent parfois aux feuilles de certaines plantes succulentes qui, le temps aidant sont abimées, voire déchirées par les éléments.

Ombre et lumière ou reflets aménagés, totalement exagérés mais donnant toute leur présence à ces personnages tout en agglutinements parfois. Ces présences fugaces car vues parfois le temps de leur présentation « sur le stand du marchand de Vanves », avant que ces pièces ne soient acquises par autrui, renvoient inlassablement à ces artistes épris d’un imaginaire obsessionnel. Ainsi, en 1824, l’artiste anglais John Martin (1789-1854) produit un ensemble d’images, des gravures en manière noire (mezzotinte) mettant également l’accent sur le diable et les ténèbres. Comme Blake, il dépeint les corps de Dieu, des anges, d’Adam et Eve comme étant d’une beauté classique ; comme Doré, il utilise la lumière et l’ombre pour souligner le drame inhérent aux scènes de Milton. Mais Martin, un romantique radical dans l’âme, est particulièrement enthousiasmé par le drame du paysage – qu’il s’agisse des cavernes et des rochers escarpés de l’enfer ou des chênes anglais et des cumulonimbus de l’Eden.

Une version gravée paraît dans les livraisons de la revue l’Artiste (1831-1904). Nombre d’éléments décrits dans les paysages de Martin sont enveloppés de cette aura romantique : les nuages montagneux, le feuillage enveloppant et les crêtes rocheuses ridées. Yvonne Bilis Régnier semble fort bien s’accommoder des atmosphères champêtres a priori calmes, proches de paysages que n’aurait pas reniés Dürer, mais vite complexes et peuplées de personnages antiquisant ou médiévaux comme ce petit format où Saint François fait face aux oiseaux qui écoutent sa prédication. Tout autant, elle montre un plaisir évident aux déformations morphologiques qui rappellent autant certaines pièces de la galerie d’anatomie du Muséum que ces œuvres postrenaissantes de Jean Mignon (1500-1556) ou de Juste de Juste (ca 1505-1559), sculpteur et aquafortiste français d’origine florentine dont les pyramides humaines traduisent un penchant pour des créatures plutôt étirées dont on trouve l’écho raffiné chez Léonor Fini.

Le corpus d’œuvres présentées en parallèle à ce texte sera, si des recherches davantage couronnées de succès le permettent, l’objet de précisions qui en diront davantage sur les talents et la biographie quelque peu mystérieuse de cette peintre entourée d’une discrétion attachante.

A suivre


[1] Une des pages liminaires de la revue donne les éléments suivants : QUI SOMMES-NOUS ? Fondé en 1924 par André Breton, le groupe surréaliste a poursuivi ses activités de recherche, de jeux et de création collective jusqu’à nos jours. Lorsqu’en 1969 Jean Schuster et ses acolytes ont décidé unilatéralement de dissoudre le groupe, Michel Zimbacca, Jean-Louis Bédouin, Joyce Mansour, Marianne van Hirtum, Jorge Camacho, réunis avec plusieurs autres autour de Vincent Bounoure, s’y sont refusé. Résolus à poursuivre l’aventure surréaliste ils sont soutenus dans cette initiative par les surréalistes pragois, et les deux groupes publient en 1976 un ouvrage qui fera date : La Civilisation surréaliste. Dans les années qui suivent, le Groupe de Paris, que n’ont cessé de rejoindre des membres appartenant à de nouvelles générations, organise de nombreuses expositions collectives et publie plusieurs revues – Bulletin de Liaison Surréaliste, Surréalisme, SURR (Surréalisme, Utopie, Rêve, Révolte) et maintenant Alcheringa – ainsi qu’un certain nombre de déclarations collectives, rassemblées dans le volume, édité par Guy Girard, Insurrection Poétique. Tracts, Affiches et Déclarations du groupe de Paris du mouvement surréaliste 1970-2010, Paris, Le Temps des Cerises, 2011. Comme le note André Breton dans Main première (1962), « Alcheringa » signifie « le temps du rêve », dans la langue aranda des aborigènes d’Australie.

Eléments bibliographiques

  • Musée Jacquemart-André, Füssli : entre rêve et fantastique. Paris, Beaux-arts éditions, 2022
  • Fabienne Dumont, Des sorcières comme les autres. Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2014. 568 p.
  • Pierre Sanchez et Xavier Seydoux, Les estampes de la revue « L’Artiste » (1831–1904), préface de Tony James. Paris : Ed. L’Échelle de Jacob, 2000. 2 vol.
  • Dominique Dalozo – Atelier Veron. Version en ligne :  atelier-veron.com https://www.artaplaza.com/dominique-dalozo-fantastic-painting-oil-on-canvas-pi [Pierre Sanchez et Xavier Seydoux ont édité en 2000 un répertoire complet des estampes publiées par L’Artiste. Au total, 3 952 planches comprenant bois, eaux-fortes ou lithographies, exécutées par 889 graveurs différents ont été publiées dans cette revue]. 
  • La Femme sacrée, ill. par Jean Cocteau, Kees Van Dongen, Henri Matisse, Jean-Gabriel Daragnès, Christian Bérard, Leonor Fini, André Dignimont, Marcel Vertès et Louis Touchagues. Éd. France-Soir – Elle : Paris, 1948. 2 000 ex. num.
  • John Milton, Le Paradis Perdu, traduction nouvelle par M. François-René de Chateaubriand. Paris : Gosselin & Furne, 1836. [Cette traduction constamment réimprimée jusqu’au début du vingtième siècle a été oubliée durant la période 1930-1980 ; elle est redécouverte en 1990 grâce à sa réimpression chez Belin dans la collection « L’extrême contemporain » dirigée par Michel Deguy].

Ci-dessus, de gauche à droite. Jean Mignon, Paysage boisé avec Junon découvrant Callisto allongée à l’ombre d’un arbre avec son fils Arcas, eau-forte et burin, 25 x 31 cm ; Hercules Pietersz Seghers, Paysage avec des montagnes et des gorges et un promeneur à droite (1621–1632), eau-forte, estampe bleue sur papier apprêté rouge pâle, partiellement peinte, 15,6 × 21 cm, Amsterdam, Rijksmuseum, Rijkprentenkabinet.

John Martin, Dieu débrouillant le chaos, manière noire. Editée pour le Paradis perdu de John Milton, tirée du livre 7, ligne 336. La présente édition est due au graveur d’interprétation Lucas pour la revue l’Artiste (1831-1904).
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